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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Le Prophète de la miséricorde ... 26.02.2010
24/02/2010 11:54
Le Prophète de la miséricorde
Louange à Dieu qui a embellit l’existence par la présence de la meilleure des créatures. Mohammed Paix et Bénédictions de Dieu sur lui, celui qui nous a purifié de la mécréance et qui nous a montré le droit chemin.
Mes amis(es)… C’est avec une grande joie que nous accueillerons la commémoration de la naissance du prophète de l’humanité (PBSL), qui aura lieu Incha Allah le 26 février 2010. Je souhaite à tout le monde et en particulier à toute la nation musulmane une vie digne, avec beaucoup de bonheur, de paix et de prospérité. Il est aussi de notre devoir de nous rappeler et de présenter à ceux qui ne le connaissent pas, qui était cet homme formidable qui a illuminé de sa présence la vie de l'homme et pas uniquement des musulmans. J’essaie de faire un petit cadeau pour tous mes amis(es) Musulmans à travers notre monde, un petit travail que j’ai beau à terminer malgré le temps, pour parler de ce qu'était Mohammed le messager d'Allah, aussi en cette heureuse occasion pour leur présenter mes sincères vœux, et que mon humble participation personnelle puisse donner un plus à vous tous. Ce prophète est une miséricorde pour l'univers. Les musulmans d’après ce que j’ai lu et ce qui m’a été racontait procèdent depuis des siècles à la commémoration de la naissance du Prophète (PBSL) Mohammed, le messager de l’Islam, dans presque tous les pays du monde. L’événement, est de taille, c’est l’occasion précieuse, naturellement, d’évoquer la vie et le comportement merveilleux de cet heureux élu de Dieu. De surcroît, nombreux sont les musulmans qui profitent de cette occasion pour renouveler leur pacte, leur amour et leur vision à l’égard de ce Prophète (PBSL) et de sa Sounna (Loi Islamique). L’amour du Prophète (PBSL) ne fait que grandir, le retour à la religion est décelable à l’œil nu, par tout observateur. Riches d’expériences pour nous sont les évènements entourant sa naissance, le contexte familial et sa prime enfance dont voici un récit très succinct. Mohammed (PBSL) était le dernier messager de Dieu envoyé à l'humanité, le Sceau des prophètes tels est sa vie et le message de l’Islam. Mohammed, le dernier des prophètes, est né un lundi matin le douzième jour du mois de Rabi’-Al-Awwal, troisième mois lunaire du calendrier arabe vers 571 (après J.C), à la Mecque dans le désert aride d'Arabie située dans une profonde vallée entourée par un rideau de montagnes dentelées, brunes et noires. De son père Abdallah et de sa mère Amina. Abdallah, le père de Mohamed, était célèbre pour sa pureté et ses bonnes mœurs. Il décéda (avant la naissance de Mohammed son fils), sa femme étant enceinte, alors qu’il était en voyage d’affaires à Médine. Sa mère n’aurait rien senti des douleurs de l’accouchement, l’enfant serait venu au monde circoncis naturellement. Les anges l’auraient lavé de toute souillure et l’auraient marqué du sceau de la prophétie sur le dos entre les épaules. A cet instant qui suivra sa naissance une lumière brillante aurait éclairé toutes les contrées environnantes, le feu sacré des Perses, allumé depuis mille ans, se serait éteint comme par enchantement….
Son grand père, fut comblé de joie. Il célébra sa naissance et le nomma « Mohammed ».ce nom loué et comblé de gloire dans le ciel (par la grâce de Dieu) et qu’il sera de même loué et comblé de gloire ici sur terre » En effet, les arabes avaient coutume de chercher des nourrices pour leurs enfants à l’extérieur de la métropole pour leur éviter les maladies, les doter d’une forte constitution, développer leurs muscles et leur permettre de comprendre l’arabe dès le bas âge. Il choisit donc une femme dont le prénom était Halima qui avec son mari acceptèrent de prendre le bébé. Ayant conscience de cette bénédiction, Halima après deux années de prise en charge de Mohammed, supplia sa mère Amina, qui voulait le récupérer, de le lui laisser pour d’autres années encore. C’est au cours de cette période, et avant que Mohammed n’ait accompli sa troisième année, qu’on rapporte un incident très important. Un jour, un frère de lait courut chez ses parents pour les informer, tout effrayé, que des gens vêtus de blancs avaient saisi Mohammed et l’avaient couché à terre pour ensuite lui ouvrir la poitrine. Les parents coururent vers Mohammed et le trouvèrent pâle et les yeux fixés vers le ciel. Interrogé, il leur raconta que deux hommes sont venus du ciel, lui avaient ouvert sa poitrine, retiré son cœur, enlevé un caillot noir (la partie appartenant à Satan), et remis le reste après l’avoir lavé avec l’eau (de Zamzam) dont il sentait encore la fraîcheur. Halima fut tellement effrayée qu’elle rendit l’enfant à sa mère Amina. A l’âge de six ans, Mohammed perdit sa mère qui succomba sur le chemin de retour après avoir visité la tombe de son mari Abdallah, à proximité de Médine. Le petit orphelin passa alors sous la tutelle de son grand père, bienveillant. Plus tard, à huit ans, Mohammed perdit son grand père. Il passa ensuite sous la tutelle de son oncle Abou-Taleb qui travaillait comme berger pour apporter sa contribution au maigre budget de la famille. Mohammed avait réuni en lui, par son éducation, les meilleures qualités que l’on pouvait trouver chez les gens. C’était un modèle raffiné de pensée lumineuse et d’observation pertinente, élevé à un haut niveau de perspicacité et de sagacité, d’originalité dans les idées, de rectitude dans le jugement et de bon sens dans le choix des moyens et des objectifs. Il recourait au silence dans ses longues méditations, approfondissait la vérité, l’explorant jusqu’au bout. Par la fécondité de son esprit et la pureté de son caractère, il avait pris connaissance des réalités de la vie des collectivités. Il se détournait des superstitions et traitait avec les gens sur la base du discernement et de la clairvoyance.
Toutes les fois qu’il trouvait qu’une chose était bonne, il y participait effectivement. Sinon, il se retirait dans sa solitude. Il ne buvait pas de vin et ne mangeait pas non plus ce qu’on avait sacrifié ou immolé pour les idoles. Il n’assistait à aucune des fêtes organisées par les idolâtres car il avait toujours éprouvé de l’aversion pour l’adoration futile et absurde des idoles. Il ne fait aucun doute qu’Allah (à Lui la Puissance et la Gloire) l’avait entouré d’un mur de protection. Ainsi lorsque les penchants de l’âme le poussaient à vouloir découvrir par curiosité la jouissance de ce monde, toutes les fois qu’il voulait suivre des traditions blâmables, la bienveillance divine intervenait pour l’en empêcher. Bien que ne sachant ni lire ni écrire, à 25 ans il épousa une riche veuve Khadîdja. En 26 ans de vie commune, elle lui donnera quatre filles. Mohammed effectue de nombreuses retraites spirituelles. La tradition musulmane affirme que c'est en 610 que, pour la première fois, l'ange Gabriel (Jibril) lui serait apparu dans la grotte de Hira où il avait coutume de se recueillir et lui aurait transmis, selon le coran, la révélation, la parole de Dieu. Mohammed, qui a alors 40 ans, commence à transmettre des versets qu'il déclare être révélé par Allah et dicté en arabe par Gabriel, cette dictée aurait duré vingt-trois ans. Les révélations se seraient accomplies ponctuellement ou régulièrement selon les péripéties de sa vie et de la communauté musulmane. Selon le dogme musulman, c'est là l'origine du Coran, que Mohammed aurait pris soin d'enseigner oralement dès le début. La tradition rapporte que, effrayé par la première visite de Gabriel, Mohammed serait réfugié auprès de son épouse et lui aurait raconté cette vision. Khadija aurait couvert Mohammed, à sa demande (d'où l'intitulé de la sourate : al-Muzzammil, « l'Enveloppé ». D'emblée, Khadija aurait cru en son époux et lui aurait apporté un soutien inconditionnel ; elle est, de ce fait, considérée par les musulmans comme la première croyante. Après avoir réorganisé l'administration et assis l'influence de l'islam à La Mecque, il retourne à Médine, où il meurt le 8 juin 632 âgé de soixante-trois ans après une courte maladie. Il est enterré dans son appartement mitoyen de la « mosquée prophétique ». La tradition musulmane rapporte aussi qu'il est mort sans rien laisser en héritage, il ne possédait au moment de sa mort qu’une tunique, un pagne de tissu grossier et avait gagé son armure contre un gallon d’orge chez un juif. Par la suite, ses disciples continueront de se transmettre oralement et sous forme d'écrits les sourates, avant que elles ne soient rassemblées définitivement en un seul livre, le Coran, par le troisième calife Uthman moins de vingt ans après la disparition de Mohammed. Il n’est qu’une miséricorde pour les mondes, l’Elu, la Lumière de la Guidance, le Seigneur des créatures, le Prince de l’Existence, l’Imam des envoyés, détenteur de l’Intercession, assis sur le tapis de la proximité au delà du lotus de la limite. Ses compagnons sont des étoiles, il est, lui, le soleil resplendissant, l’éclatante pleine lune qui éclaire à jamais le route des cheminant, et par-delà cette vie, il est là, sur le Pont, la main tendue vers nous. Les compagnons ne l’ont pas fêté publiquement ? Et alors ? Qui sommes nous ? Nous sommes ses aimés... Ô mon Seigneur, ne me punis pas d’avoir honoré le jour de sa venue ! Pardonne mon égarement ! Pardonne ces larmes qui de mon cœur et de mes yeux coulent à son souvenir et rejoignent la mer de tristesse des compagnons, pardonne ce sourire et cette joie dans l’espoir de le voir, moi aussi, lui qui est le reflet de ta Bonté et de ton Amour.
Meilleurs Vœux en cette heureuse Occasion avec toute mon amitié Barbara
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ACHOURA...27.décembre
26/12/2009 10:28
ACHOURA
Liaison Judaïsme et Islam
Le 27 décembre 2009 marquera pour tous les musulmans le jour d’Achoura, initialement une célébration juive. Cette datte, marquant le dixième jour du mois de Muharram 1431 de l’année de l’Hégire, incite à l’observation du jeûne. Le jeûne du Muharram a lieu le neuvième jour (Tasou'ah) et le dixième jour (Achoura) du premier mois du calendrier hégirien (le 26 et 27 décembre 2009). C'est un jeûne largement observé car vivement recommandé. Néanmoins il reste un jeûne surérogatoire à la différence du jeûne du Ramadan qui est obligatoire. Ce dernier est directement institué dans le Coran comme un acte de piété déjà prescrit aux croyants qui ont précédé l'enseignement du Prophète de l'islam. Cette cérémonie est également perçue, depuis des siècles, comme celle de l’enfance et de la famille. Distribution de friandises, cadeaux, pratiques à caractères carnavalesques... l’ambiance est aux festivités. Ailleurs, dans les régions de confession chiite, Achoura est un signe de deuil, car il s’agit d’un jour de grande importance commémorant l’anniversaire de la mort de Hussein, petit fils de notre Prophète Mohammed (pbsl) En l’an 61 de l’Hégire (680 après J.C), que ce jour-là, Hussein a été décapité et mutilé à Karbala, en Irak. Le tombeau de Hussein, situé à Karbala, est, depuis, un lieu saint pour les chiites. Tous les ans, en signe de deuil, les hommes appartenant à ce courant de l’Islam, en Irak et en Iran, se flagellent en public, jusqu’aux sangs. « Avant même d’être une fête musulmane, Achoura était une fête juive, marquant l’exode des enfants d’Israël après leur délivrance par le prophète Moïse (PSSL). Le prophète Mohammed (pbsl). a dû fuir l'adversité des siens, de la Mecque pour se réfugier à Médine, il y trouva une communauté juive qui observait un jour de jeûne ( Youm Kippour ). Curieux de la pratique des autres croyants, le Prophète interrogea les Juifs. Ils lui expliquèrent que Dieu a inscrit un jour de jeûne à Moïse pour célébrer la libération de leur ennemie (Pharaon d'Egypte). Selon la tradition musulmane, la réponse du Prophète fut « Nous avons plus le droit et nous sommes plus proches de Moïse que vous ». A compter de ce jour-là, le Prophète observa ce jeûne prescrit aux Juifs. Sous le Calife Oumar, lorsque le calendrier musulman fut instauré, ce jour de jeûne coïncida avec le dixième jour (Achoura) du mois du premier mois Mouharamen 622, que c’est pour cette raison, que le Prophète Mahomet ordonna aux musulmans d’observer le jeûne ce jour là. Les Musulmans ne comprenaient pas vraiment pourquoi ils devaient perpétrer cette tradition qui n’était pas la leur. Lorsqu’ils le lui demandèrent, le prophète leur répondit humblement que c’était parce qu’il considérait Moïse (PSSL) comme « plus proche » d’eux. C’est ainsi que Achoura est entrée dans la sacralité de l’Islam. Un an plus tard, pour confirmer la continuité de la cérémonie juive et s’inscrire dans la tradition de Moïse, le Prophète Mohammed recommanda aux musulmans de jeûner deux jours, les neuvième et dixième jours du mois de Muharram qui marque Achoura ainsi pour se différencier des juifs, car tout au début du jeûne de Achoura comportaient des risques de confusion entre la pratique musulmane et la pratique juive dans la mesure où toutes les deux se réfèrent à un même évènement. D’où l’origine étymologique de cette fête. « Achara » signifie dix(10) en arabe et reprend ainsi le dixième jour de Muharram. Cette fête marque la liaison entre deux religions, le Judaïsme et l’Islam. C’est un « lien naturel et historique entre deux communautés fraternelles » que tout oppose de nos jours, et pour meilleure preuve ce qui se passe aujourd’hui à Gaza. Les musulmans considèrent de ce fait Achoura comme un jour de jeûne. Un jour de jeûne recommandé et non obligatoire. Le prophète Mohammed (pbsl). « Aujourd’hui est le jour de achoura, Allah n’a pas fait un devoir pour vous de le jeûner ; que celui qui le veut jeûne et que celui qui ne le veut pas, ne jeûne pas ».Pour les pays sunnites du Maghreb, est considérée comme une fête mineure. Elle symbolise aussi l’accostage de l’Arche de Noé, au-delà de sa portée spirituelle et de ses ramifications rituelles. Achoura est aussi une fête religieuse marquée par les prières, le jeûne, la visite des cimetières et la distribution de la zakat (Un des 5 piliers de l’Islam). Achoura rime depuis des siècles avec spiritualité et fête de l'enfance et de la famille. Perçue comme un jour de partage et de charité, cette célébration évoque l'obligation de faire l'aumône, de s'acquitter de la zakat et d'échanger les visites. Traditionnellement, les familles se réunissent autour d'un couscous préparé avec la viande séchée (GUEDDID) de l'Aïd El Kabîr. Ils achèvent ce festin par un dessert composé de beignets sucrés, le tout dans une ambiance de fête où la spiritualité du rituel est souvent agrémentée par le parfum de l'encens.
Toi mon ami(e) qui jeûne par amour pour ces deux sacrifices pour Dieu, toi Amant de Moïse, de Mohamed et de Jésus, sur eux la paix, oui, réveilles-toi mon ami(e), lève-toi et marche pour moi ton frère, moi le malheureux, moi enfant de Gaza, moi ta sœur la maltraitée, la violentée, l’oppressée, moi toxicomane, moi, sidéen, moi délinquant, moi qui aime Dieu et qui souvent l'oublie. Ne me pleure pas comme une victime, mais renforce ma forteresse spirituelle contre la perversion de cette mondialisation qui nous tue à petit feu, qui est criminelle en Afrique, en Palestine, en Amérique Latine, au Tibet,… . Je ne veux pas être de ceux qui pleurent ou de ceux qui rient en 'Achoura, mais de ceux qui méditent. Tous simplement, je voudrai pouvoir être celle qui vie. Le mythe du culte du martyr a engendré la culture du deuil, celle qui assassine l'espérance, moi, j'aspire à l'Eternel Dieu, qui est la vie. L'histoire, c'est le rappel, «Et, rappelles, certes le rappel est profitable aux croyants », tel le proclame le Coran, sourate 51, verset 55. C'est le rappel de la fin de mon être, le temps qui passe ; la mort. Je veux, moi, mourir du centre de l'histoire pour naître en l'éternité, Dieu. Ce centre est les jours de Dieu, « Et rappelle-leur les jours de Dieu », sourate 14, verset 5. Ainsi, toi mon Ami(e) médite avec moi : « Celui qui est rattaché à Dieu, ne désespère jamais ». « La clémence en Dieu, est une réelle vie ». Il s'agit, effectivement, de la vie du cœur. Laisse-moi entrevoir, en cette année nouvelle, de par la grâce de ce jour, vivant par la bénédiction de Moïse de Mohammed et de jésus, sur eux la paix, la lumière de l'espérance et la force de ton sacrifice afin de nourrir les miens. Allume cette lumière et anime cette force par tes invocations, desquelles disait le Prophète(PBSL) : « L'invocation est, certes, l'adoration ». Cette force du cœur permet la sérénité et, lorsque les hommes t'abandonnent, Lui, L'Unique est omniprésent. « Ni somnolence ni sommeil ne le prennent », sourate 2, verset 255.Et, disons avec l'écho d'Abû Bakr As-Sadik, sur lui l'agrément divin : « Oh! Seigneur, ne m'abandonne pas à mon être, l'instant d'un clin d'œil ni moindre que cela, si tu m'abandonnes à moi-même, tu m'abandonnes à une faiblesse et un défaut, ainsi qu'à un péché et à une erreur ». IL N'Y A DE FORCE NI DE CAPACITE QUE PAR DIEU…
Meilleurs vœux pour plus de foi, de prière et d'humanisme, en cette chaleureuse fête tel vos cœurs.
Votre ami(e), qui vous aime en Dieu,
Barbara
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Mes Voeux
17/12/2009 16:28

Vendredi 18 Décembre 2009 Grégorien qui correspond au 1er jour du Mouharram de l’année 1431 du calendrier Musulman. En cette heureuse occasion du Nouvel An du calendrier de l'Hégire 1431...
Je viens vous souhaiter à vous mes ami(e)s musulmans et non musulmans, ainsi qu'aux personnes qui vous sont chères tous mes vœux de bonheur, santé et amour. A cette occasion, que nos vieilles rancunes cèdent la place au pardon et à la clémence. Et que nos sincères pensées vont aux membres démunis de notre chère planète. Que paix, et prospérité règne partout dans le monde, et l’unité de tous les musulmans. Qu'Allah augmentes notre Foi, augmente notre sincérité et notre adoration…Amîn. Qu’Allah nous facilite pour cette nouvelle année ! Qu’Allah fasse que ça soit une bonne et heureuse et enrichissante année sur tous les plans pour tout le monde à tout le monde Mes meilleurs vœux de bonheur, de prospérité, de joie, d’amours, de réussite pour vous mes ami(e)s…
BARBARA
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Le jour de l'An Musulman
17/12/2009 16:26

LE 01 MOUHARRAM …
Jour de l’An Musulman
« Oui, le nombre des mois, pour Dieu, est de douze mois inscrits dans le livre de Dieu, le jour où il créa les cieux et la terre. Quatre d’entre eux sont sacrés. Telle est
la Religion immuable. Ne vous faites pas tort à vous-mêmes durant ce temps. »
[Sourate 9 - verset 36]
Le 1er mois musulman est Mouharram comme Janvier dans le calendrier grégorien. - Le calendrier musulman a commencé le 1er Mouharram de l'an 1 (16 juillet 622 de l'ère chrétienne), c'est-à-dire, lorsque Mohamad a quitté
la Mecque pour Médine (Hégire). Ce calendrier a été adopté dix ans après sa migration. Il est utilisé depuis 632 de l'ère chrétienne alors qu'en France, par exemple, le calendrier dit « grégorien » n’a été utilisé seulement que depuis le 02 Décembre 1582 (Angleterre en 1752, Grèce 1923, Japon 1873, Russie 1918, Turquie 1927).
Le calendrier musulman est de type lunaire. Chaque mois commence dès
la « Nouvelle Lune » lorsque le début du croissant devient visible. Les mois sont d'une durée de 30 et 29 jours alternativement. La durée moyenne du mois (29,5 jours) est voisine de celle de la lunaison. Chaque année contient 12 mois. 12 lunaisons font en réalité 354,3 jours (car les lunaisons ne sont pas en concordance parfaite avec les jours). D'une année à l'autre le début de l'année musulmane se décale donc de 10 à 12 jours par rapport aux saisons (en moyenne de 10.87 jours par an). Le cycle lunaire des musulmans est de 30 ans. Au début de l'ère musulmane, il a été décidé de rajouter 11 jours par période de 30 ans. Donc certaines années ont 354 jours (années communes) et d'autres ont 355 jours (années abondantes). Mohamed, âgé de quarante ans, fut envoyé comme Messager de Dieu pour sortir l’humanité des ténèbres vers la lumière, la presqu’île arabique était plongé dans la « Djahilia », c’est-à-dire dans l’obscurantisme. Les populations arabes étaient alors désunies : les tribus s’entretuaient dans des guerres fratricides ; elles entretenaient le culte des idoles ; les bourgeois parmi elles exploitaient, sans vergogne, les classes laborieuses, l’esclavage battait son plein. Aucun droit n’était reconnu aux femmes. Souvent les filles étaient enterrées vivante par crainte du déshonneur, assassinées dès leur naissance en toute impunité. Cependant, la chose parfaite en ces temps lointains, c’était la langue arabe, la langue pure des « Mouâllaqats » ou poèmes très élevés, affichés dans les concours littéraires de la foire de « Okad » à
La Mecque, et toujours étudiés dans les enseignements secondaire et supérieur. Quel est l’arabisant qui ne connaît pas Imrou’El-Kaïs, Nabigha Dhoubiani, Tarafa…? Et c’est précisément dans cette langue admirable, riche et toujours vivante, que fut révélé le Coran, la lecture sacrée par excellence qui, par son style élevé, son contenu juste et équitable et sa valeur dans tous les domaines, n’a jamais cessé d’étonner le monde. Au commencement de sa noble mission et durant plus de dix ans, Le Prophète Mohammed rencontra dans la région mecquoise où il séjournait, de nombreux ennemis acharnés parmi lesquels notamment des membres de la tribu des Quraychites. Tous les opposants à sa tâche voyaient en lui le destructeur de leurs privilèges et de leurs néfastes coutumes. De nombreux complots furent vainement ourdis contre lui. Les premiers musulmans, ses compagnons, ainsi que leurs familles ne furent nullement épargnés. En raison de leur islamisation, ils furent maltraités, torturés et dépouillés de leurs biens. C’est à la suite de ces conditions difficiles que Mohammed reçut, du Ciel l’ordre d’émigrer vers Médine l’illuminée après avoir invité ses compagnons à le précéder. Accompagné de son fidèle compagnon Abou Bekr Es-Seddiq, l’Envoyé de Dieu quitta
La Mecque pour Médine, le vendredi 16 juillet de l’an 622 après J.-C. et ce, d’après l’opinion la plus accréditée. C’est ce qu’on appelle en arabe la « Hidjra » qui a donné naissance au mot français hégire. Certains orientalistes malintentionnés ou induits en erreur, traduisent la « Hidjra » par le mot français fuite. C’est une simple inexactitude. Certes, il y avait en Arabie au début de l’Islam, ainsi qu’il a déjà été exposé plus haut, de nombreux sévères contradicteurs au Prophète Mohammed : tout le monde n’avait pas encore saisi le sens du devoir dont il était chargé, mais de là à insinuer qu’il s’était enfui devant ses détracteurs, c’est vraiment vouloir porter atteinte à sa grande valeur, à sa haute dignité et à sa mission envers le Créateur et les hommes. En réalité, le mot hégire signifie en français émigration. En la circonstance, c’est un recul stratégique pour mieux réussir dans la tâche de diffusion de l’Islam entreprise, un déplacement que commandait la religion ainsi qu’il sera signalé plus loin. Non ! L’hégire n’est pas une fuite, tout simplement parce que ce dernier mot se traduit en arabe par « firar ». Durant leur périple sur une distance de plus de 500 km, Mohamed et son compagnon susnommé rencontrèrent de multiples obstacles tendus par la nature du pays ou par des assassins à gage, à la solde d’ennemis mecquois. Ils les franchirent courageusement avec l’aide et la protection de Dieu. A Médine, ils furent reçus triomphalement par une foule considérable « D’Ançars » ou soutiens ; les femmes exprimèrent leur allégresse par des youyou stridents; les filles et les garçons chantaient des poèmes religieux. Partout on entendait un hymne dont le début est interprété ainsi qu’il suit : « Un astre scintillant apparaît sur nos têtes des collines d’adieu entourant Médine ; Notre devoir est d’exprimer notre gratitude tant que priera Dieu un prieur ; O Envoyé parmi nous ! Tu es porteur d’un ordre à suivre… ». C’est à Médine, à la tête des premiers musulmans, c’est-à-dire ses « Çahabas » ou compagnons et ses « Ançars » ou soutiens, et d’accord avec eux, que l’Envoyé de Dieu élabora minutieusement un programme considérable d’où allait jaillir l’essor prodigieux : l’Islam. Tantôt par la persuasion qu’il préférait, tantôt par la guerre souvent défensive, Mohamed mena le combat contre les adversaires de la nouvelle religion. Dans son action sage et clairvoyante, il s’appuya sur le livre sacré qui fut naturellement son principal miracle et sa force. Ses efforts inlassables dans l’intérêt de la religion furent couronnés de succès. En effet, il remporta des victoires éclatantes. La bataille de Badr — point d’eau entre
la Mecque et Médine — à la tête de quelque trois cents « Moudjahidine », il sortit vainqueur d’une armée mecquoise de plus de mille soldats bien équipés. Il fit preuve à cette occasion d’une tactique militaire inconnue auparavant et suivie par la suite par de célèbres généraux. Par la suite le Messager de Dieu revint à
La Mecque avec une armée de plus de dix mille hommes, montrant ainsi la force pour n’avoir pas à s’en servir. Il occupa, en effet, cette capitale religieuse sans coup férir et sans aucun esprit de vengeance. Au contraire, il tendit la main à ceux qui l’avaient combattu et qui sans aucune contrainte embrassèrent l’Islam. En ce qui concerne la vie civile de sa nation. Mohamed procéda à de nombreuses réformes dans tous les domaines. Les deux pouvoirs, spirituel et temporel qu’il détenait, lui ont permis d’appliquer facilement le Coran dont il fut le premier exégète. En un mot, il a administré avec justice et équité. Sa riche « Sunna » en est la preuve irréfutable. Et c’est ainsi que l’Envoyé de Dieu réussit à faire l’union des Arabes autour de lui et donner un cinglant démenti à l’adage bien connu : « Nul n’est prophète en son pays ». Cette action bienfaisante, ainsi résumée, est due à la « Hidjra En-Nabawia ». Elle est mise en évidence par le Coran lui-même dans la sourate Al-Imrane :
« ô croyants ! Craignez Dieu de sa vraie crainte, et ne mourez pas autrement soumis à Lui. Attachez-vous à
la Grâce que Dieu tend vers vous ; ne vous divisez pas ; souvenez-vous de
la Grâce de Dieu qu’Il fit descendre vers vous lorsqu’Il fit l’union entre vos cœurs alors que vous étiez ennemis ; un beau matin, vous étiez des frères par Sa Grâce… »
Les 12 mois du calendrier hégirien
1)Muharram –
2)Safar -
3) Rabi’ al-awwal (Rabi I) –
4)Rabi’ al-thani (Rabi’II)
5)Jumada al-awwal (Jumada I)
6 )Jumada al-thani (Jumada II)
7)Radjab
8)Sha’ban
9) Ramadan
10) Chawwal
11) Dhu al-Qi’dah
12) Dhu al-Hijjah
Correspondance entre Calendriers
Règle de conversion entre le calendrier grégorien (G), suivi en Occident et le calendrier hégirien (H) : G=H+622-(H/33) H=G-622+ [(G-622)/32]
Ainsi, pour convertir l’an 2010 en calendrier solaire :
H=2010-622+[(2010 - 622)/32]=
1431ème année depuis l’Hégire de Muhammad vers Médine.

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